Chaque jeudi, je vous envoie une newsletter à propos de ma préparation, de mes ressentis, de mes apprentissages… en vue de mes prochaines aventures.
Cette newsletter a pour but de m’aider à financer celles-ci et uniquement celles-ci. Tous les bénéfices sont directement reversés sur le compte de mon association « Double Dash Spirit » et servent uniquement à établir un budget pour mes prochaines saisons.
Celle-ci est vouée à évoluer dans le temps afin de vous apporter encore plus de contenu avec toujours pour objectif de vous partager mon expérience et mon apprentissage, que ce soit pour vous inspirer à pratiquer, vous donner des « tips » sur les meilleures manières selon moi d’aborder un événement ou simplement suivre de près mes futurs projets.
Merci infiniment de m’aider à réaliser cela.
Aujourd’hui, j’aimerais vous parler de quelque chose qui m’a marqué dès le premier jour de la Transcontinental Race et qui en fait sûrement l’une des plus grandes courses d’ultra-distance au monde : l’engouement incroyable qu’elle suscite. Pas uniquement auprès des 330 coureurs inscrits et des nombreux candidats déçus, mais également auprès des très nombreux dotwatchers présents sur les réseaux sociaux et sur les routes.
La TCR fêtait sa 10e édition cette année et les « stars » de la discipline ont répondu présent, avec notamment le podium de l’année précédente : Christoph Strasser, Robin Gemperle et Tim de Witte, déterminés à prendre leur revanche. Il y avait également des vétérans comme Josh Ibbett, dernier vainqueur à Istanbul, accompagné de son dauphin de l’époque, Alexandre Bourgeonnier, seul Français à être monté sur le podium de l’épreuve. Chez les femmes, nous avons eu le regret de ne pas pouvoir accueillir Cynthia Carson, victime d’un accident de la route quelques semaines avant la course, mais la start-list n’en restait pas moins impressionnante avec la tenante du titre Jaimi Wilson ainsi que la prometteuse Jana Kesenheimer, lauréate de la Trans Pyrenees et de la Three Peaks Bike Race.
Pour raconter tout cela, de nombreux suivis en live ont émergé sur les réseaux sociaux mais aussi sur les sites spécialisés, comme le superbe site dotwatcher.cc, avec des résumés des différentes journées, des présentations des vélos, des favoris… ainsi que le suivi des organisateurs avec des reporters et photographes présents tout au long du parcours, racontant la course à travers les histoires des participants via des podcasts et des articles de blogs. À l’heure des retransmissions télévisées et des informations en temps réel, je suis complètement conquis par cette manière de raconter où l’on laisse l’imaginaire des suiveurs s’exprimer lorsqu’ils regardent les petits points sur la carte du livetracking avant de raconter ces histoires à travers des photos légendaires.
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